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  • Photo du rédacteurLe Sonneur des Carillons

Beaumont-en-Véron (37420) - Eglise Notre-Dame-du-Rosaire : Présentation et Cloches.


"Trois cloches parisiennes résonnent dans un clocher de l'Ouest Tourangeau."


La Commune

Beaumont-en-Véron est un village situé à l'ouest du département de l'Indre-et-Loire en Région Centre-Val de Loire, labellisée comme "Village Fleuri", la commune est traversée par la route départementale D749 reliant Chinon à Bourgueil, comme son nom l'indique Beaumont se situe dans le Pays du Véron, un jolie coin délimité par les passages de la rivière de la Vienne et du fleuve de la Loire se rejoignant en confluence à Candes-Saint-Martin, le Véron était autrefois une région marécageuse où se sont réfugiés des soldats arabes lors de la bataille de Poitiers gagné par Charles Martel en 732, aujourd'hui se sont les vignes des Vins du Chinonais que s'étendent sur ses plaines et entourant la commune, il comprend également les communes de Avoine limitrophe à Beaumont, Huismes et Savigny-en-Véron déjà étudié au niveau Campanaire.

Hormis le bourg principal ou se trouve, la mairie, l'église et diverses commerces, de nombreux hameaux s'étendent autours, comme ceux de "La Pénesais", "Les Coudreaux", "La Durandière", "La Buissonnière", "La Rue des Cinq Pères", etc...

Pour commencer, le village avait pris le nom de "Bellis-Mons", puis vers 1290 il se modifie légèrement pour devenir "Bellis-Montis", actuellement les habitant(e)s ont pris le noms des Bellimontoises et Bellimontois, le village prendra son nom final en 1312. Aujourd'hui peuplé d'un peu plus de 2860 habitant(e)s le village tient à conserver son atmosphère rural et plein de charme avec ses maisons de tuffeaux et mettre son patrimoine architectural ou naturel en valeur, très présent dans le bourg principal ou aux alentours, pour commencer, l'église du village dédiée à Notre-Dame-du-Rosaire, juste en face, une petite halle construite au XIIIè siècle soutenue par 3 piliers en tuffeaux, deuxième emblème de Beaumont, le grand cèdre bicentenaire de la place du 8 Mai 1945 rivalise de hauteur avec le clocher de l'église, les vieilles maisons appelées logères de la rue principale reliant le giratoire de l'entrée du village jusqu'à l'église, Beaumont possède la particularité d'avoir de nombreux châteaux et manoirs situés dans les hameaux délégués autours, les châteaux de Coulaines et sa chapelle dédiée à Saint-Anne avec son fin clocher d'ardoises, le Vélor, Isoré, Razilly et son pigeonnier, Détilly, les manoirs de la Giraudière et de La Courtinière.



L'église Notre-Dame-du-Rosaire

Bâtie sur un plan d'une nef unique avec un chœur tourné vers l'Est et un clocher placé sur la façade et tourné vers l'Ouest, faisant face au village, l'église de Beaumont-en-Véron remplace pour commencer une chapelle romane construite au 1025 par les seigneurs de Beaumont dont malheureusement il ne reste rien, s'élèvant à l'Est du centre-bourg, le clocher et le point culminant de Beaumont visible de plusieurs kilomètres aux alentours.

Remplaçant cette chapelle, on fit construire une nouvelle église au XIIIe siècle de style gothique Plantagenêt avec un chœur à fond plat avec deux vitraux, caractéristique de l'Anjou et de la Touraine, ce chœur toujours existant est soutenu par un contrefort massif et 2 autres moins.

Au XVIIe siècle commence la construction du logis prieural des Augustins Notre-Dame-de-Rosaire accolé à l'église qui dépendait de l'abbaye de Mauléon sur le diocèse de La Rochelle (17), aujourd'hui il reste quelques éléments de cette époque sur l'actuel bâtisse du logis.

Beaucoup plus-tard, au XIXè siècle on fit baptisée une nouvelle cloche en 1823 aujourd'hui refondue, dès 1829 on fit démolir l'église du XIIIe, on en conserve encore le chœur témoin de cette dernière.

Ce n'est qu'au début de la seconde moitié du XIXè siècle que sur les plans de l'architecte Robert. DAVIAU que l'on élève la nouvelle église en 1868, dans une architecture gothique d'inspiration Plantagenêt épousant le choeur du XIIIe siècle dans une homogénéité en s'inspirant de ce dernier, à cette même année on fit fondre une nouvelle cloche qui sera la plus grosse de la sonnerie et dédiée à la patronne de l'église de Beaumont.

La nef est agrandie par 2 bas-côtés et délimités par 5 travées chacune percées d'une baie en arc brisé.

Le clocher-porche carré bâti également au XIXè siècle, se compose pour commencer au rez-de-chaussée comme son nom l'indique, d’un portail encadré de colonnettes aux chapiteaux sculptés avec des motifs végétaux soutenants 3 arcades, il ne possède pas de tympan sculpté, et est surmonté d'un pignon, passons à l'étage au dessus, celui de la tribune il est éclairé par une grande fenêtre gothique soutenue par

3 colonnettes, dans lequel sont placés des vitraux décoratif transparent, cette dernière est surmontée d'une arcade avec des motifs végétaux, le 2eme étage est délimité du premier par des modillons décoratifs, à ce niveau on trouve une rosace légèrement visible fermé par le cadran de l'horloge installé par l'entreprise Bodet, avant l'installation de celui-ci elle était totalement visible de l'extérieur comme on le voit sur ces photos.

D'autres modillons (8) de la façade avec cette fois-ci des visages sur le 3 autres faces ils ne sont pas représentatifs et délimitent le 2eme et le dernier étage celui du beffroi où loges les 3 Cloches, percé sur chaque face de 2 fenêtres encadrées par des arcades en arc brisés équipés d'abat-sons en bois, tout ceci est surmonté par la haute flèche en pierres pour finir par la croix en fer forgé au sommet.

En rentrant par le porche sous le clocher, nous remarquons au sol une petite mosaïque avec des représentations florales de couleurs, en pénétrant à l'intérieur la nef on remarque les voûtes sur croisées d'ogives d'inspiration Plantagenêt élevées au XIXe siècle, les 2 bas-côtés en possèdes de ce même type par contre elles n’ont pas de clés de voûtes. Les voûtes Plantagenêt du chœur datant du XIIIe siècle sont en forme d'étoiles et reposent sur des piliers dont les chapiteaux sont finement décorés comme ceux de la nef.

L'artisan verrier Charles-Joseph. VANTILLARD (1836 - 1909) à réalisé plusieurs vitraux pour l'église de Beaumont, les ensembles des baies des faces Nord, Sud et Est (Choeur) sont équipées de vitraux représentatifs, les 3 derniers de la façade Ouest en possèdent aussi mais ceux-ci décoratifs et transparents.

Sur certains piliers des 2 bas-côtés figurent plusieurs croix de consécration faisant office jadis de chemin de croix, aujourd'hui remplacées par des croix en bois peint.

Plusieurs statues décorent l'église comme celles de Marie, le Sacré-Coeur de Jésus, Jeanne-d'Arc, une Vierge à l'enfant, une statue qui supposerait être Saint-Martin et d'autres...

Le Crucifix est installé dans le choeur entre les 2 vitraux, situé devant, le maître-autel en pierre est surmonté de 2 sculptures d'ange donnant l'effet d'entourer le Christ, 2 autres maître-autel ornent les bas-côtés avec un mémorial pour les anciens combattants de Beaumont victimes de guerre.

Remarque : l'église ne possède pas de Chair.

Pour accéder au beffroi, il faut se rendre pour commencer dans le bas-côté Sud où il y à la fameuse porte d'accès à franchir pour pénétrer dans un escalier longeant le mur pour monter à la tribune d'où l'on peut admirer l’intérieur de l'église sous un autre angle, nous remarquons l'un des anciens poids de l'horloge, à cet étage est fixé au mur l'échelle qui nous emmène dans les combles, en empruntant un chemin traversant la charpente on arrive sous le clocher, nous faisons face à la rosace ainsi qu'au cadran de l'horloge qui éclaire la pièce, dans cet dernière reste encore 2 échelles à gravir, la première monte à une plateforme et la deuxième monte enfin dans le beffroi.



Les Cloches

La sonnerie de l'église de Beaumont-en-Véron est aujourd'hui constituée de 3 Cloches, ces nobles dames de bronze ont toutes étaient fondues au cours du XIXe siècle, installées sur leur beffroi de bois d'origine renforcé par des poutres en bois supplémentaires et construit sur 2 étages, la grosse Cloche se trouve dans la rangé Ouest du côté de la façade, le moyenne sur la rangé Est du côté de l'église et la petite à l'étage au dessus de la moyenne.

Avant de parler des Cloches actuelles, revenons un peu en arrière, un article sur le site de la mairie de Beaumont nous raconte qu'avant la Révolution l'enseignant du village aussi sous tutelle ecclésiastique était le sonneur de cloches de Beaumont, mais également chantre et balayeur de l'église.

Les anciennes cloches de l'église n'ont pas survécues à l'époque Révolutionnaire, mais au début du XIXe siècle nous savons grâce à une inscription que comporte la petite cloche de l'ensemble actuel qu'une cloche qui se nommait "Anne-Amélie" fut fondue en l'année 1823, elle connut les parties anciennes de église, elle aurait été financée par le curé de l'époque Auguste-Pierre Quirit de Coulaine, le prénom d'Anne viendrait de la chapelle dédiée à Saint-Anne qui appartient au château de Coulaine, dont la famille Quirit de Coulaine était propriétaire, cette cloche fut refondue en l'année 1883, bénite le 12 Août par le Vicaire Général du nom de L. Durand et repris le même prénom "d'Anne-Amélie", celui d'Amélie vient de sa marraine du nom de Amélie de Salignac épouse du Sir Henry Quirit de Coulaine (1812 - 1889), président du conseil de fabrique de l'église, le prénom d'Anne vient de la même raison que la première, elle sera la plus petite de la sonnerie et donnera la note musicale La3, une autre nouvelle cloche qui sera la deuxième de la sonnerie, ces 2 cloches ont été réalisées par la fonderie parisienne de "Crouzet-Hildebrand" avec un accord en seconde majeur, Sol3 et La3 elles viendront formées un accord peut courant dans l'Ouest de la France avec la grande Cloche fondue en 1868 que l'on appel le Te Deum, Mi3 (haut), Sol3 et La3.

Revenons à la petite cloche, elle fait entendre sa voix lors de la volée de l'Angélus, elle possède des décors assez classique, comme un crucifix entouré de Marie et de Saint-Jean-Baptiste, une Vierge avec l'inscription en Latin "SPES MEA DEUS", traduction : "Dieu est mon espoir", les grands noms de la commune y sont inscrits : "Quirit de Coulaine, de Grandmaison, de Gréban de Pontourny,... malheureusement le dernier nom n'était pas facile à voir, on mentionne également le nom du curé de Beaumont, l'abbé Bourdais.

Poursuivons la découverte de l'ensemble campanaire en passant à la deuxième cloche celle qui donne donne la note Sol3, elle porte le nom de "Marie-Joseph", on supposerait que le nom de Joseph viendrait d'un établissement psychatrique qui portait le nom de Saint-Joseph de la fondation construit par le parrain de cette cloche du nom de Gréban de Pontourny, comme dit juste avant fondue en 1883 par Crouzet-Hildebrand à Paris (Auguste. Hildebrand et son gendre Jean-Eugène-Ferdinand. Crouzet), cette cloche se fait entendre plus rarement que la petite et la grande, car elle ne sonne pas en tintement comme "Anne-Amélie" mais juste à la volée et sonne avec les 2 autres ou soit en duo pour les offices dominicaux et autres cérémonies qui ont lieu dans l'église. Son nom lui fut donnée par son parrain et sa marraine, Mr. Alphonse Marie de Gréban de Pontourny et par la Baronne Millin de Grandmaison, elle porte la devise "SALUS NOSTRA IN MANU TUA EST" traduction : ""NOTRE SALUT EST ENTRE VOS MAINS", ayant réussi à prendre les mesures pour déterminer son poids nous savont avec quand même une marge d'erreur de 3% qu'elle pèse environ 543 kg.

Terminons par la plus grosse cloche est également la plus ancienne de la sonnerie celle-ci pesant environ 711 kg, les bellimontoises et bellimontois peuvent l'entendre tinter pour les sonneries horaire et les glas car elle est la seul de l'ensemble un moteur de tintement mais elle peut sonner aussi à la volée pour les messes dominicale et les autres cérémonies. Elle porte le nom de ”Notre-Dame-du-Rosaire" et fut fondue en l'année 1868 par Auguste. Hildebrand, la cloche porte la mention de "fondeur de l'Empereur" c'est-a-dire Napoléon III, elle fut bénite le 4 Octobre de cette même année par le curé , donc cette dernière aurait connu sa soeur aîné de 1823 refondue en 1883, son parrain fut le baron de Grandmaison, mr. Raoul. MILLIN, sa marraine était Mme. Blanche. QUIRIT DE COULAINE et elle porte la devise "SIT NOMEN DOMINI BENEDICTUM" traduction : " Que le Nom du Seigneur soit béni".

Pour en savoir plus sur les inscriptions et les décors cela se passe sous le reportage vidéo dans les inventaires de 3 Cloches et même pour voir la photo de l'ancienne horloge mécanique, elle est sous les inventaires.




Le Reportage



La Cloche 1

Nom de Baptême : "Notre-Dame-du-Rosaire", Fondue par A. Hildebrand fondeur de l'Empereur à Paris en 1868, Note et Octave : Mi3 Haut, Poids: ~711 kg, Diamètre: 1760 mm.

Inscriptions

Décors

- PAROISSE DE BEAUMONT-EN-VERON + PAX + BENITE LE 4 OCTOBRE 1868 SOUS LE NOM DE NOTRE DAME DU ROSAIRE ONT ETE PARRAIN - ☛ RAOUL. MILLIN BARON DE GRANDMAISON MARRAINE BLANCHE QUIRIT DE COULAINE BARONNE DE CLOCK . SIT NOMEN DOMINI BENEDICTUM . - A HILDEBRAND A PARIS FONDEUR DE L'EMPEREUR

-Anses : Simples. -Haut des Inscpt. : Représentations de sculptures gothique. -Bas des Inscrpt. : Réprésentations de sculptures gothique. -Face Nord : Représentation d'un Crucifix entouré de Marie et de St-Jean-Baptiste, -Face Sud : Armes de Napoléon. -Face Est : Représentation d'un Saint. -Face Ouest : Vierge à l'enfant. -Bas de la Robe : une première série de 2 filets, nom du fondeur, un seconde série de 2 filets, Frise végétale, une 3ème série de 2 filets et une 4ème série 2 de filets. -Panse : 2 filets.



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La Cloche 2

Nom de Baptême : "Marie-Joseph", Fondue par Crouzet-Hildebrand à Paris en 1883, Note et Octave : Sol3, Poids: ~543 kg, Diamètre: 967 mm.

Inscriptions

Décors

- + J'AI ETE BENITE LE 12 AOUT 1883 PAR MR. L . DURAND VIC . GEN . J'AI ETE NOMMEE MARIE JOSEPH PAR MON PARRAIN MR. ALPHONSE MARIE DE GREBAN DE PONTOURNY - (flèche d'archer) + ET PAR MA MARRAINE MME- LA BARONNE MILLIN DE GRANDMAISON + L'ABBE THEOPHILE P . BOURDAIS ETANT CURE DE BEAUMONT . LE SR. JEAN SUARD MAIRE . - SALUS NOSTRA IN MANU TUA EST - LE SR HENRI QUIRIT DE COULAINE PRESIDENT DE LA FABRIQUE - CROUZET-HILDEBRAND FONDEUR A PARIS

-Anses : Simples. -Haut des Inscpt. : Représentations Végétale -Bas des Inscrpt. : Réprésentations Végétale -Face Nord : Représentation d'un Crucifix entouré de Marie et de St-Jean-Baptiste. -Face Sud : Vierge et devise : «SALUS NOSTRA IN MANU TUA EST». -Bas de la Robe : Un filet puis l'inscript : LE SR HENRI QUIRIT DE COULAINE PRESIDENT DE LA FABRIQUE, 3 filets, frise végétale, 3 filets, nom du fondeur et 1 dernier filet. -Panse : 5 filets de 2 tailles différentes : 1 petit, 1 grand, 1 petit, 1 grand et 1 petit.



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La Cloche 3

Nom de Baptême : "Anne-Amélie", Fondue en 1823 puis Refondue par Crouzet-Hildebrand à Paris en 1883, Note et Octave : La3, Poids: ??? kg, Diamètre: ??? mm.

Inscriptions

Décors

​- + ANNE AMELIE DONNEE EN 1823 PAR MR. QUIRIT DE COULAINE CURE DE BEAUMONT REFONDUE EN 1883 . J'AI ETE BENITE PAR MR. L . DURAND VIC . GEN . LE 12 AOUT - (flèche d'archer) J'AI ETE NOMMEE DE NOUVEAU ANNE AMELIE PAR MON PARRAIN MR. LE BARON LOUIS GROS ET PAR MA MARRAINE AMELIE DE SALIGNAC EPOUSE DU SR. HENRI QUIRIT DE COULAINE . - SPES MEA DEUS - LE SR. JEAN SUARD , QUIRIT DE COULAINE , DE GREBAN , DE PONTOURNY , DE GRANDMAISON , DE LA MOTRAYE , … . + L'ABBE BOURDAIS ETANT CURE DE BEAUMONT . - CROUZET-HILDEBRAND FONDEUR A PARIS

​-Anses : Simples. -Haut des Inscpt. : Représentations Végétale. -Bas des Inscrpt. : Réprésentations Végétale. -Face Nord : Représentation d'un Crucifix entouré de Marie et de St-Jean-Baptiste. -Face Sud : Vierge et devise : «SPES MEA DEUS». -Bas de la Robe : Un filet puis inscriptions, 3 filets, frise végétale, 3 filets, nom du fondeur et 1 dernier filet. -Panse : 5 filets de 2 tailles différentes : 1 petit, 1 grand, 1 petit, 1 grand et 1 petit.


Les noms écrit en bleu, sont à prendre avec des pincettes car ils étaient moins visibles sur la cloche, logiquement ils sont bon !


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Les Poids des Cloches ont été calculés via le diamètre et l'épaisseur avec une marge d'erreur de 3%.

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L'ancienne Horloge

Terminons cet article par le mécanisme qui autrefois donné les heures au village de Beaumont-en-Véron qui fut construit en 1886 par l'horloger du nom de Strébet fabricant à Paris installé rue du Faubourg du Temple dans le 11e arrondissement, aujourd'hui il n'est plus fonctionnel mais aux XIXe et XXe siècles il fonctionnera pendant 89 ans de 1886 à 1975, exposé à la mairie, elle fut restauré et nettoyé par les soins de la commune, on me raconté que les anciens du village se rappellent encore quand ils montaient dans le clocher pour remonter le mécanisme une fois par semaine.



Un immense Merci à...

- La Mairie de Beaumont-en-Véron pour le près des Clés de l'église, du clocher et de la sacristie.

- Mr. Vincent. NAULET, Maire de la commune ainsi qu'à la municipalité pour l'autorisation d'accèder au clocher de l'église et pour la sonnerie.

- Mr. Yohan. COUTABLE, Directeur Général des Services également pour l'autorisation d'accéder au clocher pour l'étude des cloches ainsi que pour l'autorisation de la sonnerie des cloches pour la réalisation de ce reportage vidéo.



Sources :

- Sources Personnels



Article rédigé par Le Sonneur des Carillons/Découvertes Campanaire en Val de Loire - Tous droits réservés. 2023.


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