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  • Photo du rédacteurLe Sonneur des Carillons

Le Vieil-Baugé, (Baugé-en-Anjou) (49150) - Eglise Saint-Symphorien : Présentation et Cloches.

Dernière mise à jour : 14 oct. 2023


"Rencontre d'une cloche Normande et d'une Angevine dans un emblématique Clochers-Tors."


La Commune

Dans cette nouvelle découverte nous allons visiter un 4ème clocher tors, toujours en compagnie de mon acolyte sarthois et passionné de cloches, nous nous rendons sur la commune du Vieil-Baugé, déléguée de Baugé-en-Anjou dont la fusion date de 2013 au même titre que Montpollin, Pontigné et Saint-Martin-d'Arcé.

Placé au nord-est du département du Maine-et-Loire et d'Angers, Le Vieil-Baugé est un très joli village dont les gentilés répondent au nom des Vieil-Baugeoises et Vieil-Baugeois et sont un peu plus de 1260 à peupler le village.

Revenons un peu en arrière, déjà des fouilles ont permis de retrouver des traces datant de l'époque Gallo-romaine, puis il semble que dès le Ve siècle les rois mérovingiens ainsi que carolingiens avait fait de la cité le chef-lieu du viguerie de l'Anjou, en 999 Foulque III Nerra fut érigé à 2 km du Vieil-Baugé une tour afin de se protéger de Gueldoin II de Saumur, puis vers 1015 - 1025 Foulque Nerra fut bâtir la nouvelle cité de "Baugé-le-Neuf", le Vieil-Baugé portait le nom de "Villa Balgiaco", il deviendra "Vieil-Baugé" c'est-à-dire le "Vieux Baugé". Une bataille historique restera ancrée dans généalogie de la commune appelée tout simplement "La bataille du Vieil-Baugé" le 22 mars 1421 c'est vu la défaite des anglais face aux français alliés aux écossais, celle-ci faisait rage dans les rues du bourg et sur les rives du Couasnon. La fine fleur de la chevalerie anglaise y laissera quelques 400 cavaliers ; le duc de Clarence, frère du roi d'Angleterre est au nombre des victimes…

Aujourd'hui le Vieil-Baugé attire nombre de touristes désireux de vouloirs découvrir la charmante commune et bien-sûr son clocher-tors, niveau patrimoine, la commune regroupe beaucoup de monuments comme bien-sûr l'église construite à différentes époques et son clocher à la flèche tordu et penchée, le lavoir en contrebas du bourg construit au XIXe siècle alimenté par une source qui autrefois était réputée pour ses vertus thérapeutique, il sera utilisé par les lavandières jusqu'en 1950, dans la rue du centre on retrouve une maison du 19e siècle suivi d'une maison du 16e siècle, la place de l'église était autrefois l'ancien cimetière transféré en 1817, dans la rue des perrières on retrouve un ancien jeu de boules de fort. Le bourg est traversé par le cours d'eau du Couasnon, un plan d'eau permet de profiter d'une très belle vue sur le village et sur le clocher.


L'église Saint-Symphorien

L'édifice actuel classé Monument-Historique est dédié à Saint-Symphorien et se présente en forme de croix latine, avec une simple nef romane et néo-romane, un immense choeur de style gothique dit angevin ou Plantagenêt avec 3 chapelles, un transept construit à différentes époques et un croisillons collé au transept nord.

De l'ancien bâtiment roman du XIe siècle, on a conservé la façade principale, la face nord de la nef, le centre du transept et un petit bout du transept nord ce sont les parties les plus anciennes de l'église, la façade très sobre est percée d'une grande baie gothique dans lequel est placé un vitrail tout simple sans motif, 2 contreforts la soutienne, la face nord de la nef est également très sobre, soutenue par 4 contreforts et percée de 4 petites baies romane en pleins cintres dont 2 ont été murées. L'autre partie de la nef ne date que du XIXe siècle, 3 grande baies néo-romane ainsi qu'un portail occupe d'espace, avant cette construction, au même emplacement était placé un bas côté, il reste encore un léger témoignage de cette partie disparue sur le transept sud, une ancienne arcades aujourd'hui murée communiquait autrefois avec ce bas côté. A l'intérieur une grande voûte en carène de bâteau retourné abrite la nef, plusieurs bannières, 2 maître-autels, une plaque commémoratives pour les personnes victimes de guerres et plusieurs statues dont celle de Saint-Michel, la vierge plus des litres funéraire bordent le pourtour de la nef ainsi que du transept.

Le bras nord du transept est prolongé d'une petite chapelle semi circulaire équipé d'une petite abside percée de 3 baies romane couverte d'une petite voûte dont les nervures retombent sur des piliers dont les chapiteaux possèdent de jolis décors du XIIe siècle, le bras abrite 2 confessionals.

Le bras sud du transept beaucoup plus récent date du XVIe siècle présente une très belle façade méridionale qui bénéficie d'un joli décor renaissance sur le pignon, ce décor aurait été réalisé après 1533 par l'architecte Jean de Lespine (1505 - 1576), d'origine Angevine, il a oeuvré à l'hôtel Pincé à Angers, à la Cathédrale Saint-Maurice mais il à travaillé à la construction de plusieurs clochers dont celui de Beaufort-en-Vallée (49). A l'intérieur une jolie voûte en berceau quadrillée, sur cette dernière nous retrouvons 2 blasons, dans cette partie est installée l'ancienne horloge mécanique du début du XXe siècle.

Une petite pièce communicante avec le transept et les choeur possède une très jolie voûte peinte, on y retrouve un autre mécanisme d'horloge plus ancien que le précédent et datant du XVIIIe siècle et un ancien cadran solaire de 1523 qui ornait autrefois la façade extérieur de l'église, il s'est cassé lors de la tempête de 1999.

L'immense chœur date quant à lui du XIIIe siècle, bâti dans le style gothique angevin ou dit Plantagenêt il possède 3 chapelles, une importante voûte bombée possèdent des clefs sculptées le couvre.

Les chapiteaux sont ornés de feuillages, d'une chouette à pattes griffues, les baies des chapelles sont toutes en pleins cintres et les 2 dernières dans le chœur sont en arc brisé.

L'ensemble communique avec le transept par 3 arcades en plein cintre.

L'église abrite aussi plusieurs plusieurs tuniques religieuses.


Le Clocher Tors est sans doute le plus connu du Maine-et-Loire, mais surtout le plus élancé, construit sur 2 étage, le premier date du XIe siècle, il est percé de 4 longues baies romanes avec des chapiteaux et piliers sur 3 faces, le seconde étage qui abrite le beffroi date quand à lui du XVIIIe siècle, 2 baies sur 3 faces percent ce dernier, 2 cadran d'horloge fabriqués par l'entreprise GOURDIN datent du début du XXe siècle.

La haute flèche qui alimente de nombreuses légendes fut construite dans la seconde moitié du XIXe siècle, sa torsion fut volontaire mais le fait qu'elle soit penchée vient du travail du bois. Ce clocher unique en son genre est à l'origine de l'Association des Clochers-Tors d'Europe dont le siège se trouve à la Mairie et qui recense tous les clochers à la flèche tordu du Continent, reconnue par la Loi du 1er Juillet 1901, elle en recense 6 autour de Baugé dont celui-ci, Pontigné, Mouliherne, Fougeré, Jarzé et Fontaine-Guérin.

Revenons à notre clocher, les légendes qui tournent autour du Vieil sortent toutes de l'ordinaire certaines mystérieuses et d'autres humoristiques, on raconterait que lors de la bataille du Vieil-Baugé, la mûle du roi Clarence frère du roi d'Angleterre qui en fuyant la bataille donne un coup de pattes sur l'église ce qui aurait fait penché la flèche, autres légende, on raconte que 2 jumelles s'y serait mariées, lors de la sorties sur le parvis le marié se serait trompé d'épouse, en voyant ça le clocher se serait tordu... de rire, mais la la légende la plus populaire raconte qu'une lors d'un autres mariage, la flèche s'etonnant d'entendre un femme vierge se mariée se pencha afin de constater l'évènement, on dit aussi que si une autre femme vierge se marie à nouveau, la flèche se redressera...

Afin d'y accéder, la monté se fait au nord du choeur, une petite porte discrète est à franchir pour accéder dans un escalier en courbe puis un second tout simple qui nous emmène dans les combles du transept nord puis un troisième escalier beaucoup plus petit accède sous le clocher, un étage baigné de lumière, placés à ce niveau une dernière échelle reste à escalader pour arriver à notre but, les 2 cloches s’offrent à nous, une sonnerie imposante loge dans le beffroi, juste au dessus de nous la magnifique charpente de la flèche tordue et penchée nous offres un joli spectacle.


Les Horloges

Avant de nous intéresser aux cloches, revenons dans l'église pour y découvrir les mouvements d'horloge qui les faisait retentir pour les sonneries horaires.

Commençons par la plus anciennes, celle-ci date du XVIIIe siècle plus précisément de 1740, constitué de bronze et de fer forgé cette horloge à pu bénéficier d'une restauration en l'an 2000. Elle accompagnait de part son système qui faisait tinter la cloche le quotidiens des habitants. Autrefois elle était accompagnée par d'anciens poids en pierre qui fournissait l'énergie nécessaire au mouvement du mécanisme. Aujourd'hui elle est déposée depuis 1986 dans une petite pièce placée entre le bras sud du transept et le choeur, lors de sa restauration, elle à retrouvait ses équipements comme certains rouages, sont balancier recadré en fonction du rouage, un levier de déclenchement des sonneries et un axe avec des supports, le tout protégé dans une grande cage en fer forgé et reposant sur un support en bois. Cette horloge ne porte pas de signature. Le mouvement n'étant plus correct, elle fut remplacée par une autre horloge beaucoup plus récente au début du XXe siècle.

En 1908, le conseil municipal de la commune décide d'acheter un nouveau mouvement d'horloge afin de remplacer l'ancien devenu difficile à régler et dont le mouvement devenait irrégulier.

On fit signer un devis avec l'entreprise GOURDIN basée à Mayet dans la Sarthe pour l'horloge n°11 du catalogue à répétition et se remontant tous les 8 jours, fournie avec 2 cadrans de 1 mètre 30 de diamètre, toujours en place sur le clocher au nord et au sud. Le meuble et la pose garantie 10 ans , la somme totale que la commune à dû verser est de 2045 francs. Le devis présenté une horloge qui devait sonner les heures avec une répétition et les demi-heures. Ce mécanisme fonctionnera jusqu'en 1995, rupture de la poulies d'entraînement, en cette même année il fut remplacé par une horloge Mamias.


Les Battants



Les Cloches

Aujourd'hui le clocher du Vieil-Baugé est occupé par un beffroi massif fait en bois soutenant 2 cloches d'une taille plutôt conséquente, 2 dames d'airain complètement différentes au niveau de la provenance, de la date et du fondeur.

Les cloches ont été réalisaient au cours du XIXè siècle, mais avant de les découvrirs dans plus de détails, il va falloir revenir un peu en arrière dans le temps, comme l'indique le site internet "Feuille d'Ardoise", les anciennes parties de l'église hébergées une cloche fondue au XVIIe siècle du nom très ambiguë de "Cloche de la Mort", bénite une première fois en 1621, son nom sera Charlotte de la Mort (Le Vieil-Baugé – B – 1618-1637, vue 24/203 – (AD49), un texte raconte que lors de sa cérémonie de bénédiction, le prêtre du Vieil-Baugé le dit Messire Charles. GAILLARD ainsi que les chapelains de la commune lui fut imposé de donner le nom de Sainte-Charlotte par un certain Claude de BERARD escuyer. Seulement 4 ans plus-tard la cloche sera re-bénite en 1625 et toujours sous le nom de "de la mort", Nicole de la Mort (Le Vieil-Baugé – B – 1618-1637, vue 59/203 – (AD49), un autre texte raconte que le même prêtre ainsi que les chapelains impose le nom de Sainte-Nicole par un certains Nicolas JOUSSES escuyer. L'histoire de la cloche devient plus trouble après cet événement mais peut-être que pendant la Révolution, elle fut envoyée à Saumur comme les 4 cloches de l'église Saint-Pierre-et-Saint-Laurent de Baugé pour être fondue soit en monnaie ou en canon, ou alors refondue ou autres.

Afin de la remplacer on installera dans le clocher 2 cloches qui rythment à présent le quotidiens des Vieil-Baugeoises et Vieil-Baugeois, une première cloche sera fondue en 1852, la doyenne et la petite, par les ateliers de GUILLAUME-BESSON à Angers, toujours existante celle retentit pour l'angélus, elle répond au nom de "Louise", ce nom lui vient de sa marraine du nom d'Eulalie-Louise. JUCHEREAU et par son parrain du nom de Mr. L. FERRIERE. Elle fut bénite par le curé de la paroisse un certain Mr. PEROUIN lors le bénédiction il était curé de la paroisse depuis 42 ans. La cloche possède des décors très sobres comme une croix toute simple gravée en négatif et placée sur la face Nord-Est vu que la cloche à été tournée d'un quart de tour pour la simple raison que son point de frappe initiale était déjà bien usé, les battants placés dans l'église l'ont bien abimée, l'actuel date de 2011, ses inscriptions dont les lettres sont très imposantes et en très gros reliefs, plusieurs filets délimités chaque lignes, sur le bas et le milieu de la robe ont retrouvé le nom du fondeur " FONDERIE DE GUILLAUME-BESSON A ANGERS" ainsi qu'une devise en latin "LAUDATE DOMINUM IN SONO MEO". Pesant environ 752 kg son poids est plutôt léger pour émettre la note Mi bémol 3 avec des nuances hautes.

Pour finir ce texte terminons par la plus importante de la sonnerie, pour savoir d'où elle vient il faut partir en Normandie, dans le département de la Manche et dans la cité du cuivre de Villedieu-les-Poêles, une ville qui a hébergés nombre de fonderies de cloches, dont celle qui nous intéresse, celle de Cornille-Havard, c'est l'un des premiers fondeur de cette entreprise fondée en 1865 du nom d' Adolphe. HAVARD qui réalisera cette cloche en 1885, d'un poids et d'un profil plus imposant que celle qui est déjà en place mais qui sera d'un ton en dessous, cette fonderie est toujours en activité, elle est connue pour avoir réalisé les nouvelle cloches de Notre-Dame de Paris endommagées pendant l'incendie, les nouvelles cloches pour la Cathédrale Saint-Vincent de Saint-Malo (35) et les nouvelles cloches pour l'Abbaye Royale de Fontevraud (49). Notre cloche porte le nom de "Symphorienne-Alexandrine-Félicité", son nom lui fut donnée par son parrain et sa marraine, mais le premier nom lui vient tout logiquement du saint-patron de l'église, le nom d'Alexandrine vient d'un certain Alexandre-Urbain. MASSE et par une certaine Mme MENOIR DE LANGOTIÈRE Née Félicité. MABILLE DU CHÊNE, elle fut baptisée par l'évêque d'Angers Mgr. FREPPEL. Pesant environ 1666 kg elle donne la note Do3, elle forme avec la petite un accord que l'on appel une tierce majeur (Do3 et Mi bémol 3).



Le Reportage


La Cloche 1

Nom de Baptême : "Symphorienne-Alexandrine-Félicité", Fondue par A. Havard à Villedieu-les-Poêles (50), en 1885, Note et Octave : Do3, Poids: ~1666 kg, Diamètre: 1428 mm.

Inscriptions

Décors

- Face Nord-Est : - 1885 - S. S. LEON XIII PAPE - BENITE PAR S. G. Mgr CHARLES EMILE FREPPEL EVEQUE D'ANGERS - ASSISTE DE Mr ARISTIDE MIGNEAU - CURE DE CETTE PAROISSE - Bas de la robe : A. HAVARD A VILLEDIEU MANCHE - Face Sud-Ouest : - NOMMEE SYMPHORIENNE ALEXANDRINE FELICITE - PAR - Mr ALEXANDRE URBAIN MASSE - PROPRIETAIRE A GADON - ET - PAR Mme MENOIR DE LANGOTIERE - AU CHATEAU DU PERRAY - NEE FELICITE MABILLE DU CHENE

-Anses : Représentation de visages possiblement de conquistadors sur chacune des anses. -Haut de la robe : 2 filets, représentation d'une frise avec plusieurs niches dans lesquels sont logés des Saints et 2 filets. -Face Nord-Est : Scène de crucification du Christ entouré du bon et mauvais larrons puis inscrpition du fondeur. -Face Sud-Ouest : Représentation d'une Vierge à l'enfant. -Face Nord-Ouest : Scène de la résurrection du Christ. -Face Sud-Est : Représentation de Joseph portant l'enfant Jésus. -Milieu de la robe : Plusieurs croix de concécration. -Bas de la Robe : 1 filet, une Frise simple avec 1 filet et 1 dernier filet. -Panse : Représentation d'une frise à motifs végétaux.



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La Cloche 2

Nom de Baptême : "Louise", Fondue par Guillaume-Besson à Angers (49) en 1852, Note et Octave : Mib3 (Haut), Poids: ~752 kg, Diamètre: 1114 mm.

Inscriptions

Décors

- (décors florale avec une croixau milieu) FONDUE L'AN 1852 SOUS M PEROUIN AGE DE 84 ANS CURE DE CETTE PAROISSE DEPUIS 42 ANS ET PAR - (décors florale avec une croix au milieu) LES SOINS DE M. M. V. FERRIERE MAIRE, J. GAUDAIS, LEMASSON, LOISEAU, ET LEMOINE FABRICIENS - (décors florale avec une croix au milieu) NOMMEE LOUISE PAR M. L. FERRIERE PROPRIETAIRE DE COUTROLLES MON PARRAIN ET PAR Mme - (décors florale avec une croix au milieu) EULALIE LOUISE JUCHEREAU EPOUSE DE M. V. FERRIERE PPre DES SAUSSERAIES MA MARRAINE - LAUDATE DOMINUM IN SONO MEO - FONDERIE DE GUILLAUME-BESSON A ANGERS

-Anses : Simple. -Cerveau : 1 filet. -Haut de la robe. : 1 filet en chaque lignes d'inscriptions. -Bas des Inscrpt. : 1 filet, une inscription en latin et 1 filet. -Face Nord-Est : Représentation d'une croix simple. -Bas de la Robe : 2 filets, puis inscription du fondeur et 2 filets. -Panse : 2 filets

L'inscription en orange signifie qu'elle est gravée en négatif.


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Les Poids des Cloches ont été calculés via le diamètre et l'épaisseur avec une marge d'erreur de 3%.




Un immense Merci à...

- La Mairie déléguée du Vieil-Baugé pour la prise en charge de ma demande de visite du clocher et le prés des clefs du clocher et de la sacristie.

- Mme. Béatrice. TESSIER, Maire de la commune déléguée son autorisation d'accéder au clocher de l'église et pour l'autorisation de sonner les cloches.

- Mr. Quentin. BOISNAY, alias "Le Patrimoine Campanaire de l'Ouest", cher ami et collègue passionné de patrimoine et d'art campanaire, pour m'avoir accompagné dans le clocher, pour son aide précieuse à l'étude des cloches et à la sonnerie de la grosse cloche au pied, pour le prés de son matériel pour la réalisation du reportage vidéo et d'être venu jusqu'en Val de Loire lors d'un week-end de visites de clochers.



Sources :

- Informations disponible à l'église.

- Dépliant disponible à l'église.

- Le Vieil-Baugé – B – 1618-1637, vue 24/203 – (AD49).

- Le Vieil-Baugé – B – 1618-1637, vue 59/203 – (AD49).

- Relevé photographique personnels.

- Relevé photographique de Quentin. BOISNAY.

- Sources personnels.



Article rédigé par Le Sonneur des Carillons/Découvertes Campanaire en Val de Loire - Tous droits réservés. 2023.


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